Les adhérents au vert, découverte du Colorado à la Montagne Saint Denis
Mercredi 3 avril 2024, un groupe d’environ 37 adhérents (13 du Sud, 13 0uest et 11 du Nord) se sont retrouvés au Colorado à Saint Denis pour une petite marche dans les sentiers.
Rendez-vous fut donné à 9h30 pour le départ.
Un repas était prévu à 12h au restaurant du site.
Finalement, c’est une vingtaine de personnes qui ont décidé de marcher. Certains abandonnèrent dès la première escale au niveau de l’antenne Météo et retournèrent au site.
Le reste de la troupe a entamé le sentier humide et glissant après les pluies de la veille. Deux aguerries sont parties devant. Vaille que vaille, chacun allant à son train, le groupe a continué mais la première cassure est arrivée. A une intersection, 2 adhérentes ont abandonné, préférant attendre le retour de ceux qui voulaient continuer.
Le responsable du groupe a donné la direction à prendre et il partit à bon train en laissant derrière lui ceux qui restaient et espéraient arriver au bout. 6 personnes restaient à l’arrière et avançaient tant bien que mal dans un sentier qui n’en finissait pas de monter.
L’espoir d’arriver à la fenêtre les portait. Mais de difficultés en difficultés, ils ne voyaient rien venir. En désespoir de cause, à 11h, le groupe de 6 a décidé de faire demi-tour.
Un membre du groupe, plus entraîné, a accéléré dans la descente. Les 5 autres sont restés unis et sont arrivés à bon port.
Marcel, le guide du jour, nous a soignuersement expliqué la flore endémique.
C’est là qu’ils apprennent que 3 personnes (les 2 qui ont décidé d’attendre et celui de la descente) se sont trompées de sentier et ont descendu jusqu’au 13èmekm du chemin départemental 41. Un membre est allé les récupérer en voiture.
Quelques instants plus tard, nouvel appel. Un autre groupe s’est retrouvé au 12mekm. Il fallait encore aller les chercher, un autre membre est parti qui, lui-même a pris la direction de Saint Denis plutôt que celle de Ravine à Malheur. Les premiers marcheurs sont revenus sans difficultés.
Pendant ce temps ceux qui n’avaient pas marché sont allés au restaurant pour attendre les retardataires. L’heure tournait, l’estomac criait famine et finalement l’apéritif fut servi. Bientôt les derniers rejoignaient les tablées pour un bon repas et quelques pas de danse dans la bonne humeur.
Finalement, on aura des choses à raconter sur cette journée qui, somme toute a été très agréable.
Avis à ceux qui hésitent !
Gica